Un général, en ouverture, lançait aux participants: "Personne d'entre vous n'est terroriste ? Alors vous n'avez pas à avoir peur de la surveillance", représentant avec brio l'orientation politique type "patriot act", qui, par un hasard institutionnel typiquement français, arrive dans nos contrées 13 ans après son vote aux USA.
Les idées politiques ainsi défendues mettent en avant comme choix de civilisation une surveillance technologique généralisée dont le contrôle est concentré entre quelques mains (pouvant être en dehors du territoire national). Le même courant de pensée semble mettre en avant également les technologies proactives et autres "infrastructures sans DSI ni RSSI". Il s'inquiète de la possibilité d'un cyber-armageddon, possibilité qui sera d'autant plus réelle que les DSI, RSSI et experts techniques seront supprimés (la boucle est ainsi bouclée).