This website (or webapp, as some call it) was built to help raise awareness about common configuration mistakes, and IPv6 in general. It caters to customers who want to find out if their ISP is doing a good job, and to network and system administrators who need reliable information to resolve the issues.
The frontend was made with HTML5 and jQuery. It fetches JSON data from a PLP backend that is based on Perl, FastCGI, and lighttpd. The backend exists to provide a controlled environment for the DNS queries.
This website is meant purely as a testing tool; for information about IPv6, please refer to your favorite search engine.
This FAQ is released under the WTFPL version 2. Please share it as much as possible, translate it, share it again, compress it, share it again.
This FAQ is meant as a quick-starter for people wondering about adding IPv6 support to their network. It is not meant as a documentation, just as a FAQ, so please keep the contributed answers small and simple. They can however contain links to documentations. Also, sometimes simplifications are made on purpose because on first approach they are OK, so please techies bear with them :)
If you are wondering about adding IPv6 support and see one of your questions not answered here, please add the question, and lurkers will add the answer :)
That being said, the goal is to answer practical beginner questions, not trolls :) In particular, it won't detail at lengths why you want to use IPv6, although here is a brief non-detailed list:
Il existe d'innombrables techniques pour faire coexister IPv4 et IPv6 sur l'Internet. Tellement qu'on s'y perd facilement. Ce nouveau RFC se concentre sur une catégorie particulière, les tunnels « IPv6 sur IPv4 » et fait la liste de tous les mécanismes de cette catégorie (des plus répandus aux plus exotiques), avec leurs forces et leurs faiblesses.
Ces tunnels sont dictés par la nécessité. La bonne méthode pour se connecter en IPv6 est clairement d'utiliser une connexion native. Mais on n'a pas toujours le choix. Aujourd'hui, depuis de nombreuses années, et sans doute encore pour un certain temps, il existe de nombreuses îles IPv6, séparées les unes des autres par des réseaux purement IPv4. Par exemple, vous avez loué une machine virtuelle chez un fournisseur qui est resté à l'ancien protocole (comme Numergy) mais vous voulez accéder à l'Internet IPv6. Ou bien vous avez déployé IPv6 sur votre campus mais votre opérateur réseau n'est toujours pas capable de fournir de l'IPv6 ce qui vous désespère. Dans ces deux cas, et dans plusieurs autres, vous serez sans doute obligé d'utiliser un tunnel. Un tunnel fonctionne en encapsulant les paquets d'un protocole dans ceux d'un autre protocole. Ainsi, pour transporter de l'IPv6 sur l'IPv4, le routeur d'entrée de tunnel met le paquet IPv6 à l'intérieur d'un paquet IPv4, celui-ci voyage ensuite par les mécanismes IPv4 habituels, sur un réseau qui ne connait qu'IPv4 et, à l'arrivée sur le routeur de sortie de tunnel, le paquet IPv6 est décapsulé (extrait du paquet IPv4) puis continue son chemin dans le réseau IPv6.
La transition d'IPv4 à IPv6 est pour les grands pays industrialisés un chantier complexe, donc long. Pour d'autres pays, moins équipés, cela pourrait être plus rapide. Exemple avec la Côte d'Ivoire.
7 October 2013
Uruguay – Les dirigeants des organisations responsables de la coordination de l'infrastructure technique de l'Internet au niveau mondial se sont réunis à Montevideo, en Uruguay, afin d'examiner les questions cruciales d'actualité touchant à l'avenir de l'Internet.
L'Internet et le World Wide Web ont contribué de façon significative au développement social et économique dans le monde entier. Tous deux ont été conçus et sont régis dans l'intérêt public autour de mécanismes uniques de coopération multipartite mondiale de l'Internet intrinsèque à leur succès.
Les dirigeants ont discuté de la nécessité évidente de renforcer continuellement ces mécanismes et de les faire évoluer de manière vraiment conséquente, pour être en mesure de résoudre les problèmes émergents auxquels font face les acteurs de l'Internet.
En ce sens:
Ils ont souligné l'importance d'une gestion cohérente de l'Internet au niveau mondial et mis en garde contre la fragmentation de l'Internet au niveau national. Ils ont exprimé leur vive préoccupation face à l'érosion de la confiance des internautes au niveau mondial suite aux récentes révélations de contrôle et de surveillance omniprésente.
Ils ont identifié la nécessité d'efforts continus pour relever les défis de la gouvernance de l'Internet, et ont convenu de catalyser les efforts à l'échelle de la communauté globale en vue de l'évolution de la coopération multipartite de l'Internet mondial.
Ils ont appelé à l'accélération de la mondialisation des fonctions de l'IANA et de l'ICANN vers un environnement dans lequel toutes les parties prenantes, y compris tous les gouvernements, participent sur un pied d'égalité.
Ils ont également appelé à la transition vers IPv6 qui doit rester une priorité au niveau mondial. En particulier les fournisseurs de contenus Internet doivent servir le contenu des services sur IPv4 et IPv6, afin d'être pleinement accessible sur l'Internet mondial.
TCP/IP
TCP/IP Networking
by Prof. Jean-Yves Le Boudec
In this course you will learn and understand the main ideas that underlie and the way networks are built and run. You will be able to apply the concepts to the smart grid. In the labs you will exercise practical configurations. You will be able to
Test and clarify your understanding of the networking concepts by connecting computers to form a LAN, interconnected by routers and interconnected autonomous routing domains.
test the effect on performance of your TCP implementation and of traffic control settings
develop and test various communicating programs using sockets
be familiar with IPv6 as well as IPv4 and the interworking between them
run GNS3 in your computer and deploy real networks in an emulated environment
Et finalement, c’est là que le bât blesse: IPv6, ça marche bien dans le cœur de réseau, entre admins qui se tirent la nouille, mais devinez quoi, j’habite pas dans une salle blanche.
Chez moi, je dispose d’une bête ligne Free qui m’octroie gracieusement un mirobolant /64 IPv6 non routable dans mon réseau interne sans passer par de vieilles bidouilles dignes des années 90. Et lorsque j’”active” l’IPv6 sur ma passerelle (comprendre que je re-place une route par défaut IPv6 et que je démarre rtadvd)… ça rame. Tout rame. L’accès aux sites IPv6-ready bien sûr, et parmis eux Google, mais également l’intégralité de n’importe quel bureau moderne qui d’une façon ou d’une autre enchaîne les gethostbyname() ainsi qu’une foule d’autres requêtes vers le réseau Internet IPv6, puisque la priorité, lorsque vous disposez d’une double pile IPv4-IPv6 va en préférence au v6.
Je suis actuellement raccordé au réseau IPv6 via le tunnel broker Hurricane Electric et ce n’est guère mieux, rien de surprenant puisque quand bien même ces derniers disposent d’un réseau de belle facture, il s’agit malgré tout d’un tunnel, muni de ses propres latences, mais qui a ce gros avantage d’être plus souple puisque HE fournit un /48 à ses “abonnés” (l’inscription est gratuite).
“Mais ou veut-il en venir ? Vous demandez-vous peut-être. Et bien la trame est simple, IPv6, malgré tous les efforts d’évangélisation des différents RIR, RIPE en tête, malgré le prosélytisme des administrateurs réseau, malgré la pénurie (l’absence !) d’adresses IPv4 supplémentaires: tout le monde s’en fout. En particulier, nos FAI bien aimés, bien trop occupés à se mettre sur la gueule. Résultat ? IPv6, pour le moment, ce n’est rien de plus qu’un jouet d’admin.
La pénurie des adresses Internet se rapproche et les opérateurs télécoms doivent passer de l'Internet actuel, IPv4, vers une nouvelle version à la réserve d'adresses presque illimitée, IPv6. Un an après l'épuisement des réserves publiques européennes, le nouveau protocole reste une chimère. Pour parer à la croissance du nombre d'internautes et de leurs appareils – notamment les smartphones et tablettes – les fournisseurs d'accès doivent jouer d'astuce, alors que de nombreux sites et contenus n'ont pas encore amorcé leur évolution vers ce nouveau protocole, n'y voyant pas d'intérêt financier.
Avec ses trois blocs (1 000, 2 000 et 4 000 IP), Absolight a encore de quoi s'assurer un court avenir tranquille. Toutefois, Bruno Spiquel ne cache pas son envie d'investir "pour innover et aider le milieu associatif". A l'inverse de Bisetti le résigné, Spiquel l'utopiste pense que la situation peut évoluer : "La prise de conscience collective peut faire changer les choses. Si les gens comprennent ce que font les gros sur le marché, ils seront tentés d'aller voir des plus petits opérateurs qui garantiront un certain service."
Sur son site "IPv6 Lab", Cisco publie des indicateurs agrégés sur le déploiement d'IPv6 en différentes zones du globe.
Les données traitées par Cisco sont collectées auprès des organismes attributeurs de blocs d'adresses IP que sont RIPE, ARIN, APNIC, AFRINIC, LACNIC ainsi que de Routeviews, Alexa, Google et l'ITU. En toute transparence, Cisco explique en détails sa méthodologie.
A complete tool set to attack the inherent protocol weaknesses of IPV6
and ICMP6, and includes an easy to use packet factory library.
lien direct vers le pdf
This new gem is from the SMTP Gmail FAQ at https://support.google.com/mail/answer/81126?hl=en
(Fun note: they call it the “Bulk Senders Guidelines”… hence apparently anyone running their own personal mail server falls in that category…)
“Additional guidelines for IPv6
The sending IP must have a PTR record (i.e., a reverse DNS of the sending IP) and it should match the IP obtained via the forward DNS resolution of the hostname specified in the PTR record. Otherwise, mail will be marked as spam or possibly rejected.
The sending domain should pass either SPF check or DKIM check. Otherwise, mail might be marked as spam.”
J’utilisais jusqu’ici des machines virtuelles UML pour toutes mes expérimentations relatives au réseau. De nombreuses alternatives existent : GNS3, Netkit, Marionnet ou Cloonix. Malgré leurs qualités, je considère encore ma propre solution comme la plus adaptée à mes attentes : 1. Je ne veux pas utiliser d’images disques. Elles prennent beaucoup de place et il faut les maintenir. Elles ont aussi parfois tendance à l’embonpoint si elles sont beaucoup utilisées. Elles sont de plus difficiles à partager. 2 . L’accès à mon répertoire personnel (/home) depuis chacune des machines virtuelles m’est aussi essentiel. Cela facilite l’échange de fichiers avec les VM et je peux disposer de tous les fichiers de configuration important pour le labo dans un répertoire dédié. 3 . Je ne veux pas démarrer un système complet. Cela permet d’économiser de la mémoire et de démarrer le labo en quelques secondes.
Le 12 avril, à Grenoble, l'association GUILDE organisait une rencontre sur le thème d'IPv6 et notamment des mécanismes de transition vers IPv6 et de coexistence avec IPv4. J'ai présenté le sujet, au programme 6rd, NAT64 (dont on attend les RFC d'un moment à l'autre), DS-Lite, etc, en essayant d'être concret et pratique. À noter que, depuis cet exposé, un RFC a été publié qui est entièrement consacré à ce sujet, l'examen des mécanismes de transition : RFC 6180. // Le pdf : http://www.bortzmeyer.org/files/transition-ipv6-guilde-SHOW.pdf // pdf pour impression : http://www.bortzmeyer.org/files/transition-ipv6-guilde-PRINT.pdf // Les torrents des vidéos et audios http://www.guilde.asso.fr/rencontres/20110412/
Parfois, je me dis que si on consacrait tous les efforts qui ont été voués à écrire des RFC à propos d'IPv6 à déployer IPv6 au lieu d'expliquer comment le faire, ce protocole aurait remplacé IPv4 depuis longtemps... Toujours est-il que voici un nouveau RFC, consacré à la synthèse de l'état de l'art en matière de déploiement incrémental d'IPv6 pour un opérateur filaire (FAI ADSL ou câble par exemple).
IPv6 is the next generation of the internet protocol. When IPv4 (the current standard developped in 1981) came out, they figured that an estimated 4.294 billion addresses would be enough. It turns out that this internet thing really caught on and there's actually a shortage of IP addresses. To remedy this situation, there have been many proposed solutions, but the one that has really caught on with the techs around the world is IPv6. For someone who doesn't know all that much about networking or computers, the world of IP can be a scary confusing place. This web site's aim is to include limited technical information, but include many step-by-step HOWTOs to set up IPv6 on your computer and network. // A lire en plus de l'excellent livre IPv6 Théorie et Pratique, de l'association G6 http://livre.g6.asso.fr/index.php/Main_Page
IPv6 subnets are usually /64 because that is required in order for SLAAC (stateless address autoconfiguration) to work. Even where SLAAC is not in use, there may be other reasons to use /64. For example, there might be some end user devices out there that just assume /64, or else routing subnets longer than /64 might be inefficient on some routers because the router implementor has optimized the case of /64 or shorter routes in order to save routing table memory.