Installer Internet dans les régions rurales de L'inde. Trailer https://vimeo.com/147451465
Enième article sur la "gouvernance" d'internet écrit avec l'excellent blog binaire (http://binaire.blog.lemonde.fr/)
Loss of privacy leads to loss of freedom.
Your freedom of expression is threatened by the surveillance of your internet usage – thought patterns and intentions can be extrapolated from your website visits (rightly or wrongly), and the knowledge that you are being surveilled can make you less likely to research a particular topic. You lose that perspective, and your thought can be pushed in one direction as a result. Similarly, when the things you write online, or communicate privately to others, are surveilled, and you self-censor as a result, the rest of us lose your perspective, and the development of further ideas is stifled.
Your freedom of association is threatened by the surveillance of your communications online and by phone, and your freedom of assembly is threatened by the tracking of your location by your mobile phone. Can we afford to risk the benefits of free association, the social change brought by activists and campaigners, or the right to protest?
These freedoms are being eroded, right now. The effects will worsen over time, as each failure to exercise our freedom builds upon the last, and as more people experience the chilling effects.
If you’re involved in the Internet governance world, you likely subscribe to any number of mailing lists. Email inboxes fill daily with discussions of a wide variety of topics in the ecosystem, from ICANN accountability to marketing to Internet infrastructure. Following these important discussions can get - with apologies to the brilliant folks posting there - a little tedious. However, every now and then a real gem is posted.
Patrick Rouillon est le conseiller chargé des nouvelles technologies.
Depuis la mise en service d’internet et des réseaux mobiles, le village de Prosnes se sent le « parent pauvre » du développement numérique. Les habitants se plaignent très régulièrement de cette situation à leurs élus.
« Je confirme, indique Patrick Rouillon, conseiller municipal chargé de ce sujet, que la connexion est très, très lente avec un débit très faible. Nous subissons des coupures intempestives de ligne. Il nous est impossible de télécharger des films ou de la musique et le moindre PDF sur un mail pose problème. Et depuis cet été, c’est encore pire. Les opérateurs nous disent que nous ne sommes pas en zone blanche, mais moi, je leur réponds que nous sommes en gris clair ! Le réseau est très fluctuant, les SMS ou MMS nous sont interdits. Il est souvent nécessaire de monter à l’étage des maisons pour espérer pouvoir téléphoner. Tout cela risque d’engendrer des problèmes de sécurité en cas d’incident ou d’urgence. Et de ce fait, le village perd de son attractivité, car les personnes travaillant de leur domicile avec internet ne peuvent plus le faire. »
Le maire Philippe Soter vient donc d’écrire au préfet pour qu’il transmette requête et doléances à l’Agence nationale du numérique. « Il nous reste un autre espoir, indique M. Rouillon, avec le projet de raccordement de la commune à la fibre optique, projet géré par la communauté de communes des rives de la Suippe. Mais en attendant, on subit » !
Carré, Petit, Utile : Le programme radio des gens du numérique, tous les Jeudi à 11h sur Radio <FMR>
Des petits paquets dans le désordre, des tuyaux, non, pas des tuyaux, des cables, les Vrais Maître d'internet, comment couper l'information sur le réseau.
Nous recevons Stéphane Bortzmeyer ingénieur R&D pour l'AFNIC.
IETF https://www.ietf.org/
La suite de protocoles TCP / IP (en français, clair) http://www.linux-france.org/prj/edu/archinet/systeme/ch01s03.html
L'entête IP, expliqué par Sébastien Fontaine http://www.frameip.com/entete-ip/
Format général du datagramme IP (en anglais) http://www.tcpipguide.com/free/t_IPDatagramGeneralFormat.htm
podcast : http://cpu.dascritch.net/public/Sonores/Emissions/podcast/0012-CPU%2810-12-15%29.mp3
Les jihadistes sont comme tout le monde, ils ont besoin d’Internet pour communiquer. Leur traque a-t-elle des incidences sur le respect des droits des citoyens lambdas ? Le rédacteur en chef du magazine Next INpact nous répond. [...] Marc Rees | Ce sont les services de la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI) qui orchestrent les mesures de surveillance. Mais il est très difficile de répondre plus en profondeur à cette question puisque le décret relatif aux missions et à l’organisation de la DGSI indique expressément que “tout agent public est tenu de garder le secret sur les activités et l’organisation de la direction générale de la sécurité intérieure”. Ce qui n’est pas vraiment rassurant. [...] En clair, il est quasiment impossible de savoir si on est effectivement surveillé, sauf à être un procédurier tatillon et avoir “la chance” de faire révéler par les juges un espionnage illégal.
Well, I think the focus needs to be that the internet is exactly the same as society. People might realize that it’s not a really good idea to have all of our data and files on Google, Facebook and company servers. All of these things need to be communicated al the way to the political top, of course. But stop treating internet like it's a different thing and start focusing on what you actually want your society to look like. We have to fix society, before we can fix the internet. That’s the only thing.
La traduction en Français : http://motherboard.vice.com/fr/read/le-fondateur-de-pirate-bay
« Je pense qu’il faut prendre conscience qu’Internet est parfaitement semblable à notre société. Les gens vont peut-être réaliser que ce n’est pas une bonne idée que toutes nos données et tous nos fichiers soient stockés sur les serveurs de Google, Facebook et d’autres entreprises. Toutes ces idées doivent être diffusées jusqu’au sommet de l’État, évidemment. Mais il faut arrêter de considérer Internet comme une entité à part, et se demander à quoi nous voulons que notre société ressemble. Il faut changer la société, avant de changer Internet. C’est la seule façon de faire. »
Le réseau est-il un instrument de liberté ou de contrôle ? Les deux, répond Benjamin Loveluck, chercheur au Centre d’études et de recherches de sciences administratives et politiques (Cersa, CNRS et université Paris-II). Dans Réseaux, Libertés et Contrôle (Armand Colin), il propose, en 350 pages denses, une «généalogie politique d’Internet» qui explore la persistance de cette tension. Et replace l’avènement du «libéralisme informationnel» dans l’histoire longue du libéralisme politique.
Au moment où une nouvelle loi sur le sujet est en préparation, il existe encore des zones privées d’internet...
Pour le cofondateur de la Quadrature du Net Félix Tréguer, Internet est né d'un mouvement anti-technocratique et doit rester un outil au service de l'émancipation.
Suivant quatre axes, elles visent à faire de ce réseau partagé un outil au service de la démocratie et du développement socio-économique de notre société. Ces propositions ne pourront être débattues et surtout mises en œuvre que si nous savons au préalable assurer le caractère démocratique de nos institutions. Cela suppose notamment que le débat public se fonde des informations transparentes.
Pour les entreprises européennes, les révélations de M. Snowden ont constitué une aubaine. En France, l’argument de la « souveraineté numérique » face à l’espionnage de la NSA a permis de légitimer un investissement de l’Etat, décidé en 2009, de 285 millions d’euros dans deux projets de centres « souverains » de stockage de données. Le projet piloté par Orange comme celui de SFR se soldent pour l’instant par des fiascos commerciaux, et ce alors que plusieurs entreprises françaises, comme OVH ou Gandi, proposent déjà des offres similaires. Pour ces grands acteurs des télécoms, il s’agit en fait de renforcer leur position sur les marchés européens face à la concurrence américaine ou asiatique, en échange d’une collaboration avec les Etats dans leurs activités de surveillance. Tandis que M. Stéphane Richard, président-directeur général d’Orange, fustige Google et ses « données cryptées » qui « partent sur des data centers dont on ignore tout » (Le Point, 11 décembre 2014), M. Michel Combes, dirigeant d’Alcatel, estime qu’il « ne serait pas illogique de permettre aux pouvoirs publics de savoir ce qui se passe sur les réseaux, dans un cadre juridique approprié » (Les Echos, 1er mars 2015).
Quant à juger si la loi sur le renseignement constitue ou non un « cadre juridique approprié », les deux patrons français, comme leurs concurrents américains, se sont jusqu’à présent montrés bien silencieux.
opérateur d’accès Internet par satellite Eutelsat refuse désormais les nouveaux clients grand public sur 28 départements, ses faisceaux arrivant à saturation. Le problème pourrait être long à régler, alors que le plan France Très Haut Débit (France THD) compte sur cette technologie pour connecter une partie de la population.
Il n'est plus possible de s’abonner aux offres satellite d’Eutelsat pour une partie du territoire. Hier, plusieurs messages nous ont alerté sur le refus de nouveaux clients en France par l’opérateur satellite. Il aurait d’ailleurs envoyé des lettres à des présidents de région pour les prévenir de ce coup d’arrêt. La nouvelle est importante : le plan France THD, qui compte fournir le très haut débit à 50 % des logements en 2017, et 100 % en 2022 (dont 80 % de fibre), compte dessus pour connecter une partie des habitations les plus isolées.
Contactée hier après-midi, la société nous confirme que 28 départements sont concernés par une telle mesure. Eutelsat parle ainsi de la « suspension des ventes des services destinés aux particuliers de certains faisceaux du satellite KA-SAT ». En cause, deux faisceaux sur les onze qui couvrent la France, qui sont arrivés à saturation.
Last week, Dean Pemberton shared an interactive map of the Internet in the APNIC region, which became a very popular post.
Today, at PACNOG17 in Apia, Samoa, Dean presented his Asia Pacific map and some new maps of other regions which he’s been working on using the same methodology.
Apart from being pretty, Dean says the maps can play an important role in validating information and identifying new information.
“The maps can help validate what we currently know, such as proximity of networks and economies,” says Dean.
“Once we’ve learnt how to read a map and validate the things we already know, we can use it to find similar but previously unknown structures.”
Check out the new maps below.
There was quite a bit of chaos on the Internet today, including major fiber cuts in California. To add to this confusion, between 5:24pm and around 6:10pm Pacific on June 30th, social media and outage reports indicated some issues with Amazon, AWS and a variety of services that run on AWS. In our office, we realized HipChat (our internal messaging system) and Okta (our SSO provider) were not working. And neither was our corporate website, which is hosted on AWS EC2 and fronted by AWS CloudFront.
Puisque internet est appelé à essaimer dans le réel, dans nos objets, nos architectures, nos mobiliers urbains, c’est là que la guérilla libertaire et le totalitarisme gestionnaire vont maintenant s’affronter ! À nous d’inventer des “sub-versions” de tous ces logiciels de gouvernance algorithmique – qui prétendent déjà régenter nos vies “pour notre confort et notre sécurité”. https://www.playlistsociety.fr/2014/01/701-000-heures-de-garde-a-vue/116176/
FF has noted and protested when authorities deliberately cut off Internet access in times of unrest. As a restraint on the freedom of expression of those affected, communication blackouts during protests are unconscionable. But recent research by Anita Gohdes, a postdoctoral researcher at the University of Mannheim, suggests that Internet shutdowns are becoming part of a toolkit for more violent repression.
Suite de deux articles sur le protocole BGP. https://blog.opendns.com/2015/06/25/bgp-and-the-system-of-trust-that-runs-the-internet-pt-2/ Il aborde les erreurs d'annonce de routes , "leaks", les hijacks
La France, par l’entremise de la Direction générale de la sécurité extérieure (DGSE), n’a rien à envier aux Etats-Unis lorsqu’il s’agit d’espionner la planète. Selon L’Obs, qui cite « des témoignages anonymes de plusieurs responsables actuels et passés », les deux derniers présidents de la République ont donné leur accord à de vastes opérations de surveillance d’Internet menées par la DGSE. L’hebdomadaire corrobore ainsi dans son enquête de nombreux éléments rapportés depuis 2013 par Le Monde. || C'est pas comme si Reflets https://reflets.info en parlait depuis des années en même temps.