Si l’Assemblée accepte de rendre publics les noms des votants lors des scrutins publics, ce sera déjà une révolution. Cela ne pose aucune difficulté technique, puisque ces scrutins sont électroniques. Pour assurer la publicité de tous les scrutins, il suffit d’une décision du bureau de l’Assemblée.
Nous sommes aussi favorables à la suppression de toute possibilité de déléguer son vote (y compris pour les scrutins solennels), cela assurera une meilleure présence en séance. A défaut, il est indispensable de les encadrer pour en assurer la transparence. Claude Bartolone a promis de faire de l’Assemblée nationale «une maison de verre», il tient là une occasion en or de faire avancer la transparence. Mais il ne faut pas s’arrêter au milieu du chemin !
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Depuis cinq mois, perché sur les hauteurs de Rio de Janeiro, Glenn Greenwald, 46 ans, publie chaque jour sa dose de révélations sulfureuses. L'ancien avocat, ex-blogueur reconverti dans le journalisme de combat au Guardian, est devenu une superstar médiatique. Nourri par Edward Snowden, un ancien analyste de la National Security Agency, il révèle au monde entier l'ampleur de la surveillance à laquelle se livre la plus secrète des agences de renseignement américaines
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Après le sociologue Dominique Cardon, PC INpact a pu interroger Benjamin Ooghe-Tabanou, co-fondateur de Regards Citoyens. Deuxième interview de notre série d'entretiens questionnant l'influence d'Internet sur le travail des députés, nous avons pu revenir avec notre interlocuteur sur les effets du site NosDéputés.fr, dont il fut notamment question cet été.
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Il existe un mouvement né avec l’Internet, né de l’Internet, qu’on pourrait appeler l’irrépressible liberté des données. Les données, ce sont les œuvres culturelles et de l’esprit, les datas administratives mais aussi les cartes, les bases de données, les mots, l’encyclopédie, etc. Bref, toutes les datas que l’humain fabrique (à l’exception des données personnelles) et qui réclament de circuler, d’être accessibles à tous, combinables et réutilisables par tous.
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Quand il entend Exception Culturelle il sort son pistolet. Le moins qu'on puisse dire, c'est que Laurent Chemla n'a pas la plume dans sa poche et qu'il a des propositions plutôt radicales pour illuminer l'avenir.
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Bientôt on nous vendra Hadopi comme protecteur de l’exception culturelle, la fusion CSA/Arcep comme seule garante de notre culture exceptionnelle, le DPI nous sera imposé pour garantir un pourcentage minimal de “culture” française par foyer accédant à YouTube et le domaine public sera taxé pour soutenir les artistes français morts. J’en fais ici le pari.
Osons encore.
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