Some websites turning law-abiding Tor users into second-class citizens
Tor users blocked or faced with CAPTCHA if IP address matches known exit node.
About 1.3 million IP addresses—including those used by Google, Yahoo, Craigslist, and Yelp—are turning users of the Tor anonymity network into second-class Web citizens by blocking them outright or degrading the services offered to them, according to a recently published research paper.
Titled "Do You See What I See? Differential Treatment of Anonymous Users," the paper said 3.67 percent of websites in the Alexa 1,000 discriminated against computers visiting with known Tor exit-node IP addresses. In some cases, the visitors are completely locked out, while in others users are required to complete burdensome CAPTCHAs or are limited in what they can do. The authors said the singling out was an attempt by the sites to limit fraud and other online crime, which is carried out by a disproportionately high percentage of Tor users. In the process, law-abiding Tor users are being treated as second-class Web citizens.
In many cases, the degraded experience is automatically carried out by content delivery networks, which help individual websites to distribute content and block malicious users. One of the best-known CDNs, CloudFlare, assigns a reputational score to visiting IP addresses and if it's too low will require end-users to complete a CAPTCHA designed to prove they're a human rather than a malicious script. On a support page, CloudFlare says it doesn't specifically target Tor users, but it goes on to say that "due to the behaviour of some individuals using the Tor network (spammers, distributors of malware, attackers, etc.), the IP addresses of Tor exit nodes generally earn a bad reputation." The paper's findings have touched off a long and often heated discussion between Tor advocates and representatives of CloudFlare.
Websites that use CloudFlare competitor Akamai, meanwhile, often block Tor users outright with a 403 error that can't be bypassed. While Google and Yahoo don't block Tor users outright, some of their pages or services aren't available to visitors using Tor IP addresses. One site that's not mentioned at all in the paper is Facebook. In 2014, the social network became available as a hidden service. Facebook also tweaked its fraud-detection algorithms to improve the experience of Tor users.
The paper exposes the tension between site security and access to information and anonymity, particularly by those in repressive countries that censor content or closely monitor citizens' Web browsing.
I spoke to a number of Twitter users who received the notice. A couple are engaged in activism and are connected to the Tor Project in some capacity. A few are located in Canada, and vaguely associated with the security community at large. However, I could not determine any common factors between all recipients. They all received the notice around the same time, between 5:15 and 5:16 PM EST.
Sur les 365 demandes de suppressions de contenus (hors droits d'auteur) reçues par Twitter au dernier semestre 2013, 309 proviennent de France.
Le retweet est devenu un geste banal, que beaucoup font presque sans y penser, dès qu’un message les fait sourire ou les interpelle. Et pourtant, est-il si banal sur le plan juridique ?
La police française va pouvoir obtenir des données personnelles d'utilisateurs dans certaines affaires. Chantre de la liberté d'expression, le réseau social a dû mettre de l'eau dans son vin au fur et à mesure de sa croissance.
carte d'un tweet
Analyse : La plupart des commentaires que j'ai lus jusqu'ici sur la fin de Google Reader portaient sur son utilisation en tant que client RSS. Mais c'est pour brouiller les pistes. Les vraies victimes ont été les entreprises qui avaient planifié en 2005 et 2006 de créer des moteurs de synchronisation RSS. Tel Godzilla ravageant Tokyo, Google les a balayées sur son passage et évincées du marché.
[...]
À l'ère des appareils mobiles, où la synchronisation du contenu et des paramètres entre de multiples emplacements est une fonctionnalité cruciale, la disparition de la plate-forme de synchronisation de Google est une vraie calamité.
Vous vous souvenez quand NewsGator s'apprêtait à créer cette fameuse plate-forme de synchronisation il y a des années ? Nous ne saurons jamais ce qui aurait pu être, mais une chose est sûre : l'arrivée de Google sur ce marché a rendu l'activité intenable.
Les réseaux sociaux ont contribué au désengagements des utilisateurs de RSS
Bien entendu, Twitter et Facebook ont fortement ébranlé l'utilisation de RSS, mais il reste un marché pour ce format. Un grand marché, même, si on le mesure par rapport aux standards d'une entreprise qui n'a pas l'envergure de Google.
Jusqu'ici, les réseaux sociaux avaient une bonne image. Ce sont eux dont on a loué le rôle émancipateur à l'époque du Printemps arabe, et dont on se sert de plus en plus au quotidien. Dans le monde, Twitter compte ainsi plus d'un demi-milliard d'utilisateurs. Et le site de micro-blogging vient de lancer Vine, un service de vidéo d'une durée de 6 secondes que l'on peut utiliser de son mobile pour capturer et partager des moments du quotidien. Les réseaux sociaux servent aussi, pour beaucoup, à s'envoyer des micro-messages censés être privés et qui peu à peu remplacent les courriels.
Or, l'accusation que porte Julian Assange, le créateur de WikiLeaks, dans la vidéo exclusive réalisée par Le Point.fr est grave. Il explique que les réseaux sociaux collaborent de plus en plus ouvertement avec Washington. Soit en leur communiquant le contenu des conversations censées rester confidentielles, soit carrément en coupant des comptes auxquels sont abonnés plusieurs dizaines de milliers de followers.
La censure sur Twitter face aux hashtags de la haine. On en parle avec le fondateur de gandi.net : Laurent Chemla
Maître Olivier Iteanu, avocat à la Cour, chargé d’enseignement à Paris I et Paris XI, analyse dans nos colonnes sur l'ordonnance de référé Twitter rendue la semaine dernière par le tribunal de grande instance de Paris (Affaire UEJF, dite #UnBonJuif). Le juriste profite du sujet pour revenir sur les principes qui gouvernent la responsabilité des hébergeurs et regretter une occasion manquée (M.R.).
UEJF Twitter
[BBS] Haine publique et vieilles lanternes
Demander à Twitter de supprimer les messages racistes est inutile, contre-productif et dangereux. C’est le premier épisode de la nouvelle chronique de Laurent Chemla sur Ecrans.fr.
Yesterday, a French court decided that people on Twitter have no right to anonymity when posting xenophobic comments. This is deeply troubling: the court says that unpopular opinions don’t have the same protection from freedom of speech as popular ones. Further, and more troubling still, this is a pan-European trend.
Une étape avant les FAI
On remarquera enfin que le TGI de Paris a considéré en définitive qu’une branche de la LCEN était inapplicable géographiquement à Twitter Inc. (6-II sur la conservation de données), alors qu’une autre fonctionnait à plein régime, même si elle va conduire en une modification du code source stocké en californie (6-I-8 dispositif de signalement).
L’affaire n’est cependant pas terminée. Une fois que Twitter aura fourni les IP disponibles, les associations devront cette fois lancer une procédure auprès des FAI afin d’obtenir les coordonnées personnelles des auteurs des messages litigieux.
Les pages ci dessous contiennent des graphes animés et interactifs représentant la twitosphere autour du hashtag #NetNeutrality par tranches temporelles.
Ces graphes sont issus d'une démarche exploratoire pour modeliser les interactions sociales sur twitter. Le projet est en periode de tests, nous explorons les possibles.
Ce ne sont que des outils d'analyse, pas une analyse en soi.