The Dynamic Coalition on Community Connectivity (DC3) is a multistakeholder group, dedicated to the analysis of community networks, within the United Nations Internet Governace Forum (IGF). The need for a Dynamic Coalition on Community Connectivity (DC3) emerged during the IGF workshop 223 “Community Networks: a Revolutionary Paradigm”, held in João Pessoa, during the 10th IGF. Workshop participants agreed on the potential of community networks in order to promote sustainable Internet connectivity and foster the full enjoyment of fundamental rights such as freedom of expression and self-determination. To this extent participants stressed the need to move forward the discussion on community networks and further analyse how such networks may be used to foster sustainable Internet connectivity while empowering Internet users. During the workshop, consensus emerged with regard to the need for international cooperation aimed at fostering synergy and coordination amongst different community networks. Such cooperation may be particularly useful in order to identify:
best practices for the development and maintenance of community networks;
sustainable organisational and financial models for community networks;
efficient software and hardware technology.
To address the aforementioned issues while fostering cooperation, many participants expressed interest with regard to the establishment of a new IGF Dynamic Coalition on Community Connectivity.
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Fichiers Pdf des publications:
Building Community Networks: A Collaborative Governance Towards Enabling Frameworks
The community network manual: how to build the Internet yourself
Community Networks: the Internet by the People for the People
Declaration on Community Connectivity
Annual report of the UN IGF Dynamic Coalition on Community Connectivity
Les 1 et 2 septembre 2020, plusieurs FAI (Fournisseurs d’Accès à l’Internet) français, dont SFR et Bouygues, ont été « en panne », problème qui a été largement commenté dans les médias. En fait, leurs résolveurs DNS étaient hors-service, et il semble bien que c’était suite à une attaque menée contre ces résolveurs. Quelles leçons en tirer ?
Analyse de la panne CenturyLink.
L’Arcep a publié le 25 juin l’édition 2020 de son rapport sur l’état d’internet en France, remis au Parlement et présenté lors d’une conférence de presse en ligne suivie d’un débat entre Sébastien Soriano, président de l’Arcep, et Benjamin Bayart, co-fondateur de la Quadrature du Net et co-président de la Fédération FDN, sur le thème : « Les réseaux dans la crise sanitaire : quelles leçons en tirer ? ».
Avec la transcription.
Le présent dossier proposé par La Quadrature du Net s’intéresse dans un premier temps aux mécanismes qui motivent les États et les entreprises à surveiller, censurer, voire manipuler la population. Les premiers articles détaillent l’impact de ces réductions de libertés, sur la société et sur les personnes, d’un point de vue politique et philosophique. Ils décrivent la mise en silo de la société à différents niveaux : de l’enfermement imposé par les géants du numérique à la stérilisation de nos rues et espaces publics imposée par l’accroissement de la surveillance.
About how signals intelligence agencies, like NSA and GCHQ, are intercepting communications, we learned a lot from the Snowden revelations and the German parliamentary inquiry, but also from new legislation in France, the Netherlands and the United Kingdom. Much less is known about the practice of tapping by law enforcement, like for example the FBI and police forces. Now, a case from the Netherlands provides some interesting insights in how Dutch police intercepts internet communications - in a way that comes remarkably close to the bulk collection by intelligence agencies.
Le combat pour une informatique émancipatrice échoue le plus souvent à expliquer les effroyables coûts écologiques et humains du numérique, expliquent les auteurs de cette tribune. Qui proposent des pistes pour un internet low-tech afin de nous émanciper des sphères technocratiques et industrielles. [...] Félix Tréguer est membre fondateur de La Quadrature du Net — association de défense des libertés publiques à l’ère numérique. Gaël Trouvé est cofondateur de Scolopendre – hackerspace visant une réappropriation citoyenne de la gestion des déchets électroniques. [...] Sans pour autant abandonner ces importants combats, il faut aussi aller plus loin que la simple promotion des logiciels libres et des alternatives décentralisées aux services dominants, pour réfléchir à la manière dont se réapproprier l’ensemble de l’infrastructure numérique. Les initiatives en faveur d’une gestion associative ou coopérative de l’hébergement, de la fourniture d’accès à internet ou du réemploi du matériel informatique dessinent des pistes intéressantes pour œuvrer à une maîtrise locale, démocratique et en « circuit court » de nos outils de communication [9]. Sur le plan des usages enfin, il s’agirait de faire le tri, d’engager un débat sur les pratiques informatiques que l’on souhaite préserver et cultiver – parce qu’elles sont les véhicules d’expressions citoyennes ou artistiques, de solidarités renouvelées, de partages de savoirs –, et celles, chronophages, addictives et aliénantes dont on gagnerait à s’affranchir. Ce ne sont là que quelques esquisses des lignes de front possibles d’une politique hacker-luddite capable de redonner sa cohérence à la défense des libertés à l’ère numérique, tout en contribuant au renforcement des convergences militantes. Pour ainsi faire en sorte que l’idée d’internet — celle d’un réseau de communication mondial et acentré — puisse survivre au système technicien dont il est le fruit.
Visions carto a publié une carte de synthèse assez simple sur le développement (global) d'internet. https://farm3.staticflickr.com/2634/32032365144_6b5104e302_o_d.jpg
Network shutdowns are a growing threat to human rights around the world. In a resolution passed in June 2016, the UN Human Rights Council affirmed that network shutdowns threaten freedom of expression and the right to access information, condemned them to be a violation of international human rights law and called on governments to refrain from taking these actions. Yet governments are increasingly ordering telecommunications companies to shut down their networks, which in turn puts pressure on companies to take actions that violate their responsibility to respect human rights.
Unfortunately, results of our indicator examining network shutdowns reveal that companies are failing to disclose sufficient information about how they handle government shutdown demands.
Table of Contents:
- The secret world of cable landing sites
- Armoured submarine cables
- Fixing cables at sea
- QAM, DWDM, QPSK...
- The cable guise
- Testing submarine cables
- The power of nightmares
- Next stop: Data centre
- A change in the data tide
- The NOC's NOC
- The ISP's ISP's SLA
- The last mile
- VDSL2
- DOCSIS
- The last 100 metres
- Back to the future of wired Internet
- Quite a trip
Des lois venues encadrer des pratiques alégales. Ainsi ont été « vendues » aux parlementaires les derniers textes sécuritaires. Hier, Reflets et Mediapart ont donné de nouvelles briques sur la situation antérieure aux lois de programmation militaire et sur le renseignement. « IOL » pour Interceptions obligatoires légales. Voilà le doux acronyme détaillé hier par nos confrères, préparé en France dès 2005, généralisé en 2009 auprès de tous les opérateurs. Le principe ? Un système de « sondes » installées chez ces fournisseurs d’accès, spécialement sur les DSLAM, censé permettre le recueil en temps réel des données d’une personne déterminée.
Mediapart et Reflets viennent tout juste de vous révéler IOL, ou comment dès 2006, la France déployait un dispositif qui se positionnait aux frontières de la légalité. IOL est le second projet « confidentiel défense » après Kairos et apparu au cours de nos investigations sur la société Qosmos, sur lequel nous pouvons aujourd’hui faire la lumière. IOL porte donc sur les interceptions dites de sécurité, que l’on opposera aux interceptions judiciaires qui se font sous le contrôle d’un juge. IOL est piloté par le GIC qui répond au cabinet du premier ministre. Cette infrastructure est-elle isolée ou transverse à celle de la PNIJ, la plateforme nationale des interceptions judiciaires ? Difficile de concevoir que l’Etat double ce genre d’infrastructures assez coûteuses.
Dans les éléments constitutifs d'un accès ouvert au réseau Internet tel que défini par le règlement européen sur les télécoms adopté récemment, il y a le fait que l'utilisateur final puisse utiliser le terminal de son choix. Cet élément se comprend bien quand on parle de l'accès mobile : on doit pouvoir utiliser le téléphone, ou le smartphone, qu'on veut, et pas celui imposé par l'opérateur du réseau auquel on est raccordé. Mais ça devient très vite plus compliqué quand on parle de l'accès à Internet fixe : la box est-elle un terminal, et doit-elle être découplée de l'accès lui-même ?
Compilation des principaux amendements relatifs à Internet discutés lors de l'examen du projet de loi sur la réforme pénale.
Today, 4 March, ARTICLE 19 and Coding Rights are launching Net of Rights, a short film which explores the link between internet protocols and human rights online. The film will screen at 6pm at the Internet Freedom Festival, or can be seen on the Net of Rights website. || Le film téléchargeable https://hrpc.io/net-of-rights/
Aujourd’hui ce sont les câbles sous marins qui sont invisibles. Comment et par quels tuyaux courent les giga-octets d’information et de données, pour aller d’une machine à une autre, y compris quand elles sont séparées de plusieurs milliers de kilomètres ? Avec Benjamin Sontag de la Quadrature du Net et Jean-Luc Vuillemin, Directeur Réseaux et Services Internationaux chez Orange. Celui-ci sera la veille à Toulon, pour assister a l’arrivée, sur nos côtes, d’un nouveau câble international, le SeaMeWe 5, qui relie l’Europe à l’Asie. Nous parlerons avec eux des installations sous-marines de câbles, dans lesquels 99% de l’Internet circule. ( http://media.radiofrance-podcast.net/podcast09/13954-02.03.2016-ITEMA_20926531-1.mp3 )
India is having its internet uprising, and many western activists can’t figure out what to do about it.
Since the spring of 2015, Indian activists have built ferocious momentum against Facebook’s bid to take charge of the nation’s internet through a program called Free Basics.
Formerly called “Internet Zero,” Free Basics’s pitch has been: we’ll get “the next billion internet users” (that is, poor people in developing nations) connected by cutting deals with local phone companies. Under these deals, there will be no charge for accessing the services we hand-pick. We will define the internet experience for these technologically unsophisticated people, with our products at the centre and no competition. It’s philanthropy!
India’s net neutrality activists have a crisp name for this: “Poor Internet for Poor People”. They rallied thousands, then tens of thousands, and eventually millions under that banner. They marched in the streets, they took to the net, and they terrorized companies that partnered with Facebook, one-starring their apps until they pulled out.
They refused to accept Facebook’s claims of charity and development, pointing to Wikipedia’s experiment in sub-Saharan countries, which ended up providing light reading for the country’s elites during commutes, but not reaching significant numbers of the poor people they were aiming for. India’s net-fighters sent Facebook back to the drawing board.
Pour accompagner la transition du réseau vers le protocole IPv6, Free déploie une nouvelle technique qui partage l'adresse IPv4 attribuée entre quatre abonnés, en utilisant des plages de ports réservées pour compléter l'adressage.
https://lafibre.info/free-la-fibre/cgn-14-chez-free-une-ipv4-partagee-par-4-clients/
[...]
Pour eux, il « y aura une option ”vraie ip fixe” bientôt et, cerise sur le gâteau, on pourra même demander plusieurs IP ». a donc fini par annoncer ce week-end Rani Assaf, le directeur technique de Free. Il n’a en revanche donné aucun calendrier.
L’incontournable Stéphane Bortzmeyer avait aussi expliqué en détails la technique dite « A + P » (adresses + ports) qui semble être celle utilisée par Free, dans un billet d’août 2011. « L’idée de base est un compromis. On va sacrifier quelques bits du numéro de port pour les donner à l’adresse IP (…). L’idée d’A+P est que, même si l’adresse ne sera plus unique, le couple {adresse, partie du port} restera unique par client. Avec 65536 ports possibles, on peut mettre 65536 clients sur une même adresse IP (si chacun se contente d’un seul port), 256 (avec 256 ports chacun), ou un seul (avec le système actuel où le client a 65536 ports)… L’un des intérêts d’A+P est qu’il limite (sans toutefois le supprimer) le recours au NAT et à tous ses inconvénients ». Au passage, Bortzmeyer expliquait qu’Orange avait lui-même réalisé des tests de cette technique.
http://www.bortzmeyer.org/6346.html
It often happens that we need to find the default port number for a specific service, or what service is listening on a given port. The tool uses the Iana.org website to get the official list of ports. A private script has been created to fetch regularly the website and update the ports.json file. For this reason, an update command will be created in a future version.